Totalement décousu du bonnet. A la fois dans le réel et en dehors, James se raconte une vie de tous les jours habillée du génie du Joker, du mauvais goût de Deadpool et de l’héroïsme de Monkey D. Luffy.
Vous ne voyez pas ? Imaginez. Un GoldLink ou un Mick Jenkins de 120kg animé par le feu et la folie d’un Zelazny ou d’un Moorcock le tout sur les ambiances éclectiques d’un Kaytranada ou d’un Evil Needle, et en Français s’il vous plait! Dandy fantasque, enfant perdu, ce créatif énergumène humanoïde au vibrato cultivé par l’alcool, la clope et les jeux vidéo, traverse la musique comme une odyssée dont il serait le Ulysse.